Le psoas iliaque : entre mythe de l'étirement et réalité fonctionnelle

LE PSOAS ILIAQUE : ENTRE MYTHE DE L'ETIREMENT ET REALITE FONCTIONNELLE

Christophe Otte
Orthokinésiste
Physiothérapeute, podologue, ostéopathe, posturologue
LE PSOAS ILIAQUE : ENTRE MYTHE DE L'ETIREMENT ET REALITE FONCTIONNELLE
Il est de ces muscles que l’on croit connaître, parce qu’ils sont cités dans tous les ouvrages d’anatomie fonctionnelle, mentionnés dans les protocoles de rééducation ou accusés lorsqu’un patient souffre de douleurs lombaires. Le psoas iliaque, ce fléchisseur profond de la hanche, en fait partie. Pourtant, réduire ce muscle à une simple fonction de mobilisation du fémur serait lui faire injure. Car derrière son nom complexe se cache une véritable clé biomécanique et posturale, dont le rôle, encore trop sous-estimé, mérite une exploration approfondie.
 
Le psoas iliaque est un muscle composite, résultat de la convergence du psoas major, naissant sur les faces latérales des vertèbres T12 à L5, et de l’iliacus, implanté dans la fosse iliaque. Ensemble, ils forment une colonne musculaire qui s’insère sur le petit trochanter du fémur. Cette orientation oblique, plongeant du rachis lombaire vers le bassin et la hanche, en fait un muscle à la fois axial et appendiculaire. Il relie le tronc aux membres inférieurs, et c’est en cela qu’il possède une fonction charnière, à la croisée de toutes les coordinations locomotrices et posturales.
 
Dans la vision classique, le psoas est le principal fléchisseur de hanche. Il intervient notamment lors de la marche, de la montée des escaliers, ou du redressement du tronc en position assise. Mais ce que l’on oublie souvent, c’est qu’il travaille dans toutes les postures où le corps cherche un équilibre entre la gravité et la stabilité. En position debout, il agit comme un véritable tuteur dynamique de la colonne lombaire. Ses insertions vertébrales lui permettent d’influencer directement la courbure lombaire et la position du bassin. Il module la lordose, participe à la stabilité antérieure du rachis, et assure un ancrage entre les étages inférieurs et supérieurs du corps.
 
Il joue également un rôle central dans la mécanique respiratoire. Par sa proximité anatomique avec le diaphragme, et son insertion sur les vertèbres lombaires, il fait partie du système respiratoire profond. Lors de l’inspiration diaphragmatique, une synergie s’établit entre le diaphragme, le transverse, le plancher pelvien et le psoas. Cette coordination crée une stabilité centrale indispensable au mouvement. Une perturbation du psoas (trop tonique, trop raide ou trop inhibé) peut altérer cette synergie, diminuer la mobilité diaphragmatique et créer une respiration plus haute, moins efficiente. Dans ce contexte, la respiration devient thoracique, compensée, et perd de son rôle stabilisateur postural.
 
Ce lien est d’autant plus flagrant dans le cas de la position assise prolongée. En étant maintenu en position raccourcie, le psoas s’adapte à un état contracté quasi permanent. Il perd en élasticité, en mobilité et en force fonctionnelle. Cela génère une surcharge passive sur la colonne lombaire et peut compromettre la mobilité diaphragmatique. La position assise devient ainsi un piège postural, favorisant une hypomobilité lombaire, un affaissement du tronc, une respiration paradoxale et une fatigue globale du système posturo-respiratoire. Restaurer un psoas fonctionnel, c’est donc aussi rétablir une respiration fluide, profonde et bien coordonnée.

Il n’est donc pas surprenant que son dysfonctionnement entraîne des conséquences posturales majeures. Un psoas trop court, trop raide, ou en hypertonie, tend à antéverser le bassin, à creuser la lordose lombaire et à créer une compression articulaire dorsolombaire. Mais l’inverse est aussi vrai : un psoas affaibli, inactif, ou en inhibition, perd sa capacité à maintenir la stabilité du rachis en position neutre, et laisse alors place à des compensations postérieures, notamment une activation excessive des érecteurs du rachis ou du quadratus lumborum.

Test du psoas-iliaque gauche trop court. La cuisse se lève. Elle devrait rester à l'horizontale, dans le prolongement de la table.

Ces dérèglements se manifestent souvent dans le cadre de douleurs lombaires chroniques, de troubles posturaux, de syndromes pelviens ou de gênes locomotrices. Dans la littérature scientifique, le psoas est aujourd’hui reconnu comme un muscle stabilisateur de la colonne, intervenant autant dans la motricité que dans le contrôle postural anticipatoire. Il répond à des stimuli proprioceptifs, participe à l’équilibre sagittal du tronc et joue un rôle crucial dans l’endurance posturale.
 
Lorsqu’un psoas se contracture, ce n’est pas par caprice : c’est une stratégie de protection. Il se défend, tout simplement. Dans une vision orthokinésique, nous comprenons que la contracture est souvent le résultat d’une surcharge fonctionnelle chronique ou d'une faiblesse adaptative. Le muscle ne répond plus à la demande car il est à bout de souffle : manque d’endurance, manque de tonus de fond, manque de relais musculaire. Il se fibrose alors, perd en qualité tissulaire, et se fixe en mode défense.
 
Pourquoi cette surcharge ? Trop de position assise, trop de raccourcissement passif, pas assez de sollicitation active. Le psoas est un muscle postural profond qui a besoin d'être entretenu en amplitude, en résistance, et en endurance. Sa faiblesse chronique peut être la conséquence directe de déséquilibres ascendants (pieds plats, instabilités de cheville ou de hanche, faiblesse du quadriceps ou du moyen fessier) ou descendants (déficit des abdominaux, posture très postérieure du tronc, déséquilibres du caisson thoraco-abdominal).

 
Un autre aspect trop souvent négligé concerne les chaînes de compensation. Le psoas ne travaille jamais seul. Il est en synergie constante avec les abdominaux profonds (transverse, obliques), les muscles du plancher pelvien, le diaphragme, les fessiers et les muscles de la cuisse. Lorsque l’un de ces partenaires faiblit, le psoas tente de compenser. C’est ainsi que l’on observe, dans les bilans posturaux dynamiques, des activations asynchrones, des asymétries de stabilisation, et parfois même des inversions de fonction. Un pied instable, une hanche mal centrée, un tronc en déport postérieur peuvent suffire à placer le psoas dans une boucle de suractivation chronique.
Avant même d’envisager de renforcer ou d’étirer ce muscle, il est impératif d’en comprendre les causes profondes de sa mise en tension. Un psoas qui se contracture est souvent victime d’un déséquilibre mécanique auquel il tente de répondre à lui seul. Si ce déséquilibre perdure — comme c’est le cas avec des pieds instables, éversés, ou mal ancrés —, il est vain de chercher à libérer ce muscle par des techniques isolées. Il faudra d’abord rétablir l’équilibre postural global, par exemple grâce à des activateurs plantaires dynamiques qui permettront une meilleure stabilisation ascendante. Ce n’est qu’une fois la cause corrigée, une fois la stratégie de compensation neutralisée, que l’on pourra envisager un véritable travail de rééducation fonctionnelle du psoas.


L'étirement du psoas, bien qu'utile pour réduire une tension excessive, ne suffira jamais si le muscle est en situation de défense. Car un muscle raccourci qui travaille en permanence en piste courte ne pourra pas assurer la stabilité du bassin et du tronc en position étirée. Il faudra alors lui réapprendre à fonctionner dans une amplitude plus longue : c’est là toute l’importance, selon moi, du renforcement en piste longue.


Je considère que cet entraînement dans l’amplitude permet au psoas de retrouver sa capacité de stabilisation dans l’ouverture, de soutenir le mouvement dans la durée et d'assurer un ancrage dynamique au niveau lombo-pelvien. Ce travail n'est pas démontré dans les études que j’ai consultées, mais il s’inscrit dans une logique fonctionnelle. L'étirement seul peut être vu comme une forme de renforcement passif, certes utile, mais qui manque d'engagement fonctionnel. En effet, l'étirement contribue à casser certaines fibroses, à améliorer la mobilité, et à renforcer le muscle dans sa capacité à se protéger dans sa piste d'étirement maximale. Toutefois, cela peut s'avérer inefficace tant que la cause primaire de son raccourcissement ou de sa faiblesse n’est pas corrigée.

Dans le cadre d’une approche orthokinésique (posturologie dynamique), le psoas est exploré sous toutes ses dimensions. On étudie sa longueur, sa force, son endurance, sa capacité à travailler en piste courte et piste longue. Lors d'un bilan postural OPS, on analyse aussi son comportement en dynamique : réagit-il trop vite ? trop tard ? se contracte-t-il en excès pour stabiliser un segment défaillant ? Est-il à l’origine de la compensation ou en train de la subir ? Toutes ces questions permettent d’adapter la rééducation : dans certains cas, il faudra l’étirer ; dans d’autres, le renforcer ; et souvent, le rééduquer dans un cadre fonctionnel où il retrouvera son rôle de chef d’orchestre postural.

Un bilan Postural OPS (posturale et dynamique) permet de trouver les causes perturbatrices et d'orienter le traitement : corriger les éléments qui engendre une tension anormale du psoas-iliaque, le renforcer, l'étirer ou le manipuler en thérapie manuelle orthokinésique.



Exemples d'exercices de renforcement :

Exercices en piste externe (longue) pour le psoas : membres inférieurs dans le vide, descentes et élévations (travail des abdominaux en concert avec les psoas). Une jambe peut être fléchie pour faciliter le travail. Des résistances peuvent être ajoutées à la jambe (chaussures ou poids).

Exercices au départ d'une piste neutre vers une piste interne : membres inférieurs dans le prologement du tronc, l'un des 2 fléchit contre résistance.

Travailler le psoas dans un cadre fonctionnel, en l’intégrant au mouvement, permet d’assurer la stabilité articulaire à travers différentes amplitudes. Cela oblige également les autres muscles synergiques à travailler de concert avec lui, stabilisant plus efficacement les articulations sollicitées dans les mouvements globaux. Il s’agit de l’entraîner à stabiliser le bassin en appui unilatéral, à freiner une chute du tronc en arrière, à contrôler l’ouverture de hanche dans une posture d’instabilité. Le travail en piste longue prend ici tout son sens : faire travailler le psoas dans une amplitude étirée oblige le muscle à regagner de la force dans une posture fonctionnelle. C’est aussi une façon de réinitialiser les chaînes neuro-musculaires, de solliciter les muscles co-stabilisateurs, et de reprogrammer le mouvement.
 
Ce muscle n'est pas seulement un fléchisseur de hanche, mais un véritable modulateur de la posture, un lien entre locomotion, respiration et équilibre. Sa rééducation doit donc être globale, progressive, orientée vers la fonction et l'endurance.
 

La marche en arrière : une stratégie fonctionnelle pour libérer le psoas

Découvrez notre article sur la marche arrière en détail sur ce lien : Article marche arrière

En conclusion, le psoas iliaque est un muscle bien plus stratégique qu’on ne le pense. Il est le trait d’union entre posture et mouvement, entre force profonde et contrôle global. Le considérer dans son ensemble, avec ses interactions ascendantes et descendantes, c’est redonner du sens à la posture humaine. Et c’est aussi poser un regard nouveau sur les douleurs lombaires, les troubles fonctionnels, et les échecs de rééducation. Le psoas n’est ni coupable ni victime : il est adaptatif, intelligent, et exigeant. Encore faut-il lui redonner la parole, dans le langage du mouvement. L'analyse posturale OPS peut être la clé de réussite pour soulager un psoas-iliaque en souffrance !

Résumé :
On parle souvent du psoas-iliaque comme d’un simple muscle fléchisseur de hanche… mais c’est loin d’être aussi simpliste. En réalité, ce muscle profond est une véritable charnière entre le tronc et les membres inférieurs, un acteur clé de notre stabilité posturale, de notre respiration profonde et même de notre endurance globale.
Il relie directement la colonne lombaire au fémur, et à chaque mouvement, à chaque respiration, il joue un rôle central, souvent sous-estimé. Ce muscle ne se contente pas de fléchir la hanche en marchant ou en montant des escaliers : il stabilise la colonne, soutient le bassin et coordonne la posture. Il agit en lien direct avec le diaphragme, les abdominaux profonds, les muscles du plancher pelvien, les fessiers et les muscles de cuisse. C’est un chef d’orchestre.
Mais dans notre société moderne, la position assise prolongée est son pire ennemi. Le psoas reste raccourci, inactif, se défend, se contracture, perd en élasticité… Résultat : lombalgies, troubles respiratoires, douleurs posturales, fatigue chronique. Beaucoup l’étirent à tort, pensant bien faire, mais un muscle contracté en défense ne se libère pas par un simple étirement.
Avant d’étirer ou renforcer, il faut d’abord comprendre pourquoi il souffre. Est-ce un pied instable ? Un bassin désaxé ? Une faiblesse du moyen fessier ou des abdominaux ? Le corps compense, et le psoas trinque.
Dans une vision orthokinésique, ce muscle est évalué de manière globale et fonctionnelle. On analyse son comportement dans le mouvement, sa coordination avec les autres chaînes, sa capacité à stabiliser dans les amplitudes étirées (piste longue). C’est là que le renforcement fonctionnel prend tout son sens. Travailler le psoas dans l’amplitude, en synergie avec les autres muscles stabilisateurs, permet de le sortir de sa posture défensive et de restaurer son rôle fondamental dans la posture.



Bibliographie :
  1. Sañudo, B., et al. (2022). "Effects of a hip flexor stretching program on lumbopelvic posture and muscle activity in sedentary individuals: A randomized controlled trial." Journal of Bodywork and Movement Therapies, 30, 110–117.
  2. Vazirian, M., et al. (2020). "Activation pattern of psoas major and associated muscles during active leg raise: a musculoskeletal modeling approach." Journal of Biomechanics, 104, 109721.
  3. Piva, S. R., et al. (2014). "Strengthening vs stretching for the treatment of patients with low back pain: a randomized controlled trial." Physiotherapy Research International, 19(1), 26–36.
  4. Neumann, D. A. (2017). Kinesiology of the Musculoskeletal System: Foundations for Rehabilitation. Elsevier Health Sciences.
  5. Segura-Ortí, E., et al. (2021). "The role of endurance training on lumbar stability and hip flexor function: a systematic review." Journal of Back and Musculoskeletal Rehabilitation, 34(2), 325–336.
     

 
 

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VOICI LA LISTE DES PATHOLOGIES POSTURALES QUI PEUVENT ÊTRE AMÉLIORÉES GRÂCE À NOS TRAITEMENTS OPS :
 
Pathologies des membres inférieurs
Pieds
Pied plat, Pied creux, Pied Bot, Pied équin, Pied diabétique (neuropathie), Instabilité du pied, Métatarsalgie, Maladie de Morton, Hallux valgus, Hallux Rigidus, Quintus varus, Orteil en griffe, Tendinopathie achilienne, Tendinite du long fibulaire, Rupture du tendon d’Achille, Maladie de Sever, Tendinopathie du Tibial Postérieur, Scaphoïdite, Os surnuméraire, Syndrome du Canal Tarsien, Aponévrosite plantaire, Talalgie, Épine calcanéenne, Fracture de stress, Algodystrophie du pied, Ostéosynthèse, Élongation musculaire, Déchirure musculaire, Crampes musculaires, Arthropathie calcanéo-cuboïdienne, Arthropathie de Lisfranc, Maladie d’Haglund, Excroissance osseuse, Fibrose tissulaire, Maladie de Sever (ostéochondrose de l’apophyse postérieure du calcanéum), Maladie de Renander (ostéochondrose du sésamoïde), Maladie de Kholer (ostéochondrose du scaphoïde), Maladie de Freiberg (ostéochondrose de la tête métatarsienne), Maladie d’Iselin (ostéochondrose de la base du 5ème métatarsien), Cor, Verrue, Durillon.
Douleurs de la cheville
Instabilité, Entorse, Ostéosynthèse.
Douleurs de la jambe
Périostite tibiale, Tendinite du tibial antérieur, Syndrome des loges.
Douleurs du genou
Instabilité, Kyste poplité, Lésions méniscales et ligamentaires, Rupture du ligament croisé antéro-externe, Entorse, Syndrome de stress fémoro-patellaire, Maladie d’Osgood-Schlatter, Maladie de Sinding-Larsen-Johanson, Tendinite rotulienne, Tendinite de la patte d’oie, Tendinite du biceps crural, Syndrome du muscle poplité, Syndrome de la bandelette de Maissiat (alias « l’essuie-glace »), Genou valgum ou varum, Marche in-toeing, Prothèse Totale du Genou (PTG).
Douleurs de la hanche
Périarthrite, Tendinite du Psoas-iliaque, Syndrome du muscle piriforme, Syndrome du moyen fessier, Tendinite des adducteurs, Pubalgie, Dysfonction sacro-iliaque, Coxarthrose, Cruralgie, Bursite, Prothèse Totale de Hanche (PTH).
Douleurs du dos
Scoliose, Hyperlordose, Hypercyphose, Fracture de stress vertébrale, Lombalgie, Lumbago, Lombarthrose, Torticolis, Inégalité de longueur des membres, Dorsalgie, Cervicalgie, Maladie de Scheuermann, Syndrome de la queue de cheval, Canal lombaire étroit, Discopathie, Hernie, Protrusion, Spondylolisthésis, Fracture par compression, Fracture des transverses, Fracture d’une épineuse.
Pathologies des membres supérieurs
Épaule
Scapulalgie, Dysfonction de la coiffe des rotateurs, Épaule gelée (capsulite rétractile), Périarthrite scapulo-humérale, Conflit sous-acromial, Calcification, Luxation.
Douleurs aux coudes
Épicondylite (Tennis Elbow), Épitrochléite.
Douleurs aux poignets
Syndrome du canal carpien, Ténosynovite des fléchisseurs.
Pathologies de la tête
Céphalées, Migraines, Vertige, Vertige positionnel paroxystique bénin (VPPB).
Douleurs des mâchoires
Bruxisme, SADAM, Malocclusion, Troubles orthodontiques, Prognathisme, Rétrognathisme.
Pathologies générales
Maladie d’Ehlers-Danlos, Fibromyalgie, RAA, Polyarthrite, Spondylarthrite ankylosante, Arthrite, Goutte, Arthrose, AVC, Diabète, Myopathie, Parkinson, Sclérose en plaques, Maladie de Charcot (SLA), Charcot-Marie-Tooth, Hémiplégie, IMC, Dyspraxie, Dysphagie, Dysphasie, Dysgraphie, Dyslexie, Poliomyélite, Acouphènes, Strabisme, Troubles veineux, Nystagmus, Phlyctènes, Cors, Durillons.