espace patient

l’orthokinésie pour tous en préventif ou en curatif

La base d'un bon fonctionnement du corps, à la fois en statique et en mouvement, est l'équilibre. Cependant, des déséquilibres peuvent se produire à différents niveaux. C'est pourquoi un bilan postural OPS implique un examen complet, de la tête aux pieds.

Le bilan postural OPS est un examen biomécanique approfondi du corps. Le thérapeute effectue cette analyse en partie manuellement et en partie à l'aide de logiciels informatiques pour une précision inégalable. 

Les résultats de l'analyse globale OPS sont transcrits dans un bilan, qui constitue un outil utile pour le patient et le thérapeute. Après chaque bilan OPS, notre cellule thérapeutique se concerte afin de proposer le meilleur traitement au patient.

L’EXAMEN PRÉVENTIF

L’orthokinésie s’adresse à toutes les personnes qui sont susceptibles d’avoir un déséquilibre corporel. L’examen orthokinésique, nommé aussi bilan postural OPS (bilan de la posture, des pieds, du dos, de la marche et de la course…) s’adresse aux enfants, aux adultes et aux personnes âgées, quelle que soit leur forme physique, qu’ils soient sportifs ou sédentaires.

À partir de l’âge de 4 ans, il est conseillé de pratiquer un examen orthokinésique tous les ans afin de détecter le plus tôt possible l’apparition de déformations articulaires (scoliose, pieds plats…).

Le bilan postural OPS peut être effectué avant 4 ans lorsque l’enfant chute anormalement. Grâce à cet examen de choix, un traitement préventif peut être envisagé pour chaque enfant.
L’adolescence est la période de la vie où l’organisme est susceptible de subir les plus grandes modifications corporelles.

Il est donc indispensable de suivre ces évolutions avec attention, notamment en effectuant un bilan OPS tous les six mois lors des grands pics de croissance.
Le bilan OPS permet de trouver un traitement adapté pour soulager et prévenir les douleurs corporelles.
N’attendez pas les manifestations douloureuses pour vous décider à effectuer un bilan postural OPS.
Il est d’ailleurs conseillé d’en réaliser un tous les ans afin de vérifier qu’aucune perturbation corporelle ne se soit installée.
L’examen orthokinésique est essentiel pour corriger les défauts mécaniques qui sont susceptibles d’amoindrir les performances sportives et d’entraîner des blessures corporelles.

Sport et performances

Le sport et la recherche de résultats vont de pair. Afin d’obtenir des résultats et des progrès rapides lors d’une activité physique, les conditions dans lesquelles l'organisme se trouve doivent être optimales. Outre les muscles, la posture du corps et le mouvement (comme catalyseur) déterminent la force que le corps peut produire. L’équilibre, quant à lui, garantit la qualité de la performance. 

Grâce à une analyse posturale OPS approfondie (statique et dynamique), le thérapeute obtiendra une information précise de l'état physique de son patient. Un vaste arsenal de traitements permet aux thérapeutes OPS d'offrir les solutions adéquates à leurs patients. Ces solutions sont proposées chez le sportif pour corriger les défauts mécaniques susceptibles d’amoindrir les performances sportives, d’entraîner des blessures corporelles et de ralentir la récupération des lésions.

L’examen postural OPS permet de contrecarrer les anomalies posturales et dynamiques liées au vieillissement de l’organisme.

Cet examen de choix permet d’éviter les pertes d’équilibre, ainsi que les chutes inattendues qui favorisent trop souvent des fractures
(ex : col du fémur).

L’EXAMEN CURATIF

IDENTIFIER LES CAUSES DE VOS DOULEURS CORPORELLES

Les patients souffrant de douleurs apériodiques, aigües ou chroniques sont souvent traités de manière symptomatique. A contrario, l'objectif de Clinique OPS est de déterminer la cause de la douleur.

Grâce à une analyse posturale OPS approfondie (statique et dynamique), le thérapeute obtiendra une information précise de l'état physique du patient.

Un vaste arsenal de traitements orthokinésiques permet aux thérapeutes OPS d'offrir les solutions les plus adéquates à leurs patients. Ces solutions sont proposées dans le but de soulager leurs douleurs et d'améliorer leur qualité de vie à long terme.

identifiez vos douleurs

Le corps humain rencontre parfois des difficultés à cause de blessures, de malformations ou de douleurs diverses.

De nombreux symptômes peuvent être recensés : des raideurs, de la boiterie, un sentiment de brûlure ou d'échauffement, des sensations de pincement ou d'accrochage, etc.

Sélectionnez ci-dessousci-contre la partie du corps qui vous fait souffrir afin d’identifier de quelle pathologie il peut s’agir.

DOULEURS À LA TÊTE
DOULEURS CERVICALES
DOULEURS AUX ÉPAULES
DOULEURS DORSALES
DOULEURS LOMBAIRES
DOULEURS AUX HANCHES
DOULEURS AUX COUDES
DOULEURS AUX POIGNETS
DOULEURS AUX GENOUX
DOULEURS AUX JAMBES
DOULEURS AUX CHEVILLES
DOULEURS AUX PIEDS
identifiez vos douleurs

identifiez vos douleurs



Le corps humain rencontre parfois des difficultés à cause de blessures, de malformations ou de douleurs diverses.

De nombreux symptômes peuvent être recensés : des raideurs, de la boiterie, un sentiment de brûlure ou d'échauffement, des sensations de pincement ou d'accrochage, etc.

Sélectionnez ci-dessousci-contre la partie du corps qui vous fait souffrir afin d’identifier de quelle pathologie il peut s’agir.

Douleurs à la tête, migraines

Pathologie

Les douleurs de tête d’origine mécanique sont souvent occasionnées par un trouble maxillo-facial (mâchoire), un trouble oculomoteur (œil), un trouble vestibulaire (oreille interne), voire un trouble des pieds.

Les douleurs survenant en soirée sont plus souvent liées à une fatigue des muscles des yeux. L’utilisation des écrans (d’ordinateur…) constitue une surcharge de travail pour ces muscles, ce qui amplifie encore la fatigue ressentie. Les douleurs survenant au réveil, quant à elles, sont généralement liées à un bruxisme nocturne (serrage de dent). Ce dernier occasionne le plus souvent une crispation générale du corps et donc une forte fatigue matinale.

Pour détecter quelles sont les causes qui favorisent vos douleurs de tête, il est souhaitable d’effectuer un bilan postural OPS.

Douleurs cervicales

Pathologie

Les cervicalgies sont des douleurs siégeant au niveau du cou. Lorsque les douleurs s’étendent et irradient vers un bras, on parle de névralgies cervico-brachiales. Les douleurs peuvent aussi irradier vers la tête par des maux de tête.

Le plus souvent, les cervicalgies sont favorisées par des postures et mouvements inadaptés (on parle souvent de torticolis) ou par l’arthrose. Elles peuvent également survenir après un traumatisme (« coup du lapin »).

Une mauvaise posture de la tête peut occasionner une sursollicitation des muscles du cou et des disques intervertébraux. La mauvaise position de la tête d’origine posturale est souvent occasionnée par un trouble maxillo-facial (mâchoire), un trouble oculomoteur (œil), un trouble vestibulaire (oreille interne) ou un trouble des pieds.

Afin de détecter l’origine des douleurs cervicales, il est souhaitable d’effectuer un bilan postural OPS.

Douleurs aux épaules

Pathologie

L’origine des douleurs de l’épaule provient principalement d’une lésion musculaire. Dans les cas extrêmes, il peut s’agir d’une fracture (de la clavicule, de l’humérus) ou d'une déchirure (rupture de la coiffe des rotateurs notamment) ou enfin d'une luxation (sortie de la tête de l’humérus hors de sa cavité articulaire).

Les douleurs à l’épaule sont majoritairement associées à des douleurs de la nuque, c’est pourquoi il est essentiel de vérifier la bonne posture de la tête.

La mauvaise position de la tête d’origine posturale est souvent occasionnée par un trouble maxillo-facial (mâchoire), un trouble oculomoteur (œil), un trouble vestibulaire (oreille interne) ou un trouble des pieds. 

Afin de détecter l’origine des douleurs d’épaule, il est souhaitable d’effectuer un bilan postural OPS.

Douleurs dorsales

Pathologie

La dorsalgie est une douleur ressentie de la base du cou jusqu’à la taille (entre la première et la douzième vertèbre dorsale). Elle est souvent d’origine posturale : descendante, ascendante ou mixte. Un mauvais port de tête ou une position anormale des pieds peuvent modifier la position de la colonne vertébrale et sursolliciter les muscles et les disques intervertébraux. Une déficience du système respiratoire peut aussi être à l’origine d’une perturbation de la colonne dorsale.

Afin de détecter la cause des dorsalgies, il est essentiel d’effectuer un bilan postural OPS qui comporte une analyse détaillée de la mobilité de la colonne vertébrale.

Douleurs lombaires

Pathologie

La lombalgie est une douleur située dans le bas du dos.

Les symptômes, l’intensité et le type de douleur peuvent varier selon la cause : légère ou intense, périodique ou chronique, profonde, lancinante, aigüe ou encore pulsative. La douleur dans le bas du dos peut parfois être plus forte le matin et s’améliorer avec les mouvements et les étirements.

Dans la majorité des lombalgies, on retrouve des déficiences au niveau des membres inférieurs (pieds pronateurs, pieds plats ou creux, manque d’amortissement, inégalité de membres…). Dans 80% des cas, un stress postural mixte (ascendant et descendant opposés) est détecté. La colonne est mise en tension comme un torchon qui se tord sur un axe vertical : le bas du dos est la zone centrale de cette tension et c’est elle qui souffre le plus. Le risque d’usure et de formation d’hernies discales augmente. 

Le bilan postural OPS a l’avantage d’analyser toutes des déficiences possibles, tant au niveau de la posture qu’au niveau de la marche ou de la course.

Douleurs aux hanches

Pathologie

Les douleurs aux hanches sont habituellement ressenties au niveau du pli de l’aine et peuvent irradier jusqu’au genou. Elles peuvent survenir plus ou moins rapidement et sont occasionnées par une atteinte musculaire et/ou articulaire.

Une malposition articulaire du pied peut se répercuter sur la hanche en chaîne montante.

À l’inverse, les hanches peuvent subir des contraintes par compensation des étages supérieurs ou inférieurs : une malposition articulaire du pied peut se répercuter sur la hanche en chaîne montante, et à l’inverse, une malposition de la colonne vertébrale peut aussi occasionner une compensation de la hanche en chaîne descendante. 

Les muscles iliaque et psoas prennent naissance dans la zone des lombaires et se rejoignent pour s’insérer par un tendon dans une petite zone à l’intérieur de la cuisse : le petit trochanter. Le muscle psoas-iliaque est souvent en lésion par compensation à la rotation interne excessive du fémur, elle-même provoquée par une hyperpronation du pied (pied plat).

L’analyse podologique en mouvement prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas. 

Le muscle pyramidal va du sacrum (dans la partie inférieure de la colonne vertébrale, à travers l’articulation sacro-iliaque) au sommet de l’os fémoral ou fémur. Le nerf sciatique passe directement en dessous de ce muscle. Lorsque ce dernier devient tendu ou spastique, cela peut causer une brève irritation du nerf. Ce muscle occasionne souvent des douleurs fessières et/ou lombaires et est souvent en lésion par compensation à la rotation interne excessive du fémur, elle-même provoquée par une hyperpronation du pied (pied plat).

L’analyse podologique en mouvement prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

La tendinite du moyen fessier (également appelée tendinopathie de la hanche ou bursite trochantérienne) est un problème assez fréquent, qui peut survenir spontanément, après un effort ou à la suite de l’implantation d’une prothèse de hanche. En compensation à la rotation interne excessive du fémur, elle-même provoquée par une hyperpronation du pied, le muscle moyen fessier (rotateur externe de la hanche) se rétracte afin de contrecarrer l’excès de rotation interne de la hanche. Le muscle tente de compenser l’excès d’amplitude du pied en pronation, suite à une faiblesse des muscles supinateurs du pied. 

L’analyse podologique en mouvement prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

La pubalgie est une tendinite d’un des nombreux muscles abdominaux qui se terminent par une lame fibreuse (ligne blanche, grand droit, oblique...) ou de la cuisse (adducteur, abducteur...) qui viennent s’insérer sur l’aile ilio-pubienne.

Cette inflammation est due à une sollicitation répétée et traumatisante du tendon incriminé. Le mécanisme lésionnel est souvent lié à une asymétrie de mobilité des deux hémi-bassins, principalement causée par une position asymétrique des deux pieds durant la marche ou la course. Il est courant de constater deux pieds hyperpronateurs asymétriques qui obligent le bassin à se positionner dans un vrillage, ce qui sursollicite alors la symphyse pubienne.

L’analyse globale prévue dans le bilan OPS sera très intéressante pour détecter les différentes origines de la tension exercée sur le pubis : pieds, colonne vertébrale…

La coxarthrose (ou arthrose de la hanche) est une usure de l’articulation de la hanche causée par le frottement des surfaces articulaires : la radiographie montre la destruction du cartilage. Cette pathologie est fréquente à partir de 50 ans, peut être asymptomatique et passer inaperçue ou encore être très invalidante et provoquer bien des douleurs. 

La mauvaise position du pied peut occasionner un manque d’amortissement qui peut favoriser une contrainte excessive du cartilage du genou et de la hanche. Durant la marche, la mauvaise position du pied (hyperpronation ou l’hypersupination) peut occasionner une mauvaise répartition des pressions articulaires du genou et de la hanche, favorisant ainsi une usure anormale du cartilage.

L’analyse podologique en mouvement prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

Douleurs aux coudes

Pathologie

Également appelée « tennis elbow », l’épicondylite est une inflammation qui survient au niveau d’une petite saillie osseuse de l’os du bras (humérus), juste au-dessus de l’articulation du coude, sur la face externe du bras. La douleur provient principalement d’une lésion des tendons (solides bandes de tissu qui fixent les muscles à l’os) situés à proximité du coude.

L’épicondylite est souvent amplifiée par une crispation nocturne associant le bruxisme (serrage de dent) et le serrage du poing. Ce phénomène inconscient survenant la nuit peut occasionner un surmenage des muscles épicondyliens. L’épicondylite peut aussi être associée à un trouble de la mécanique posturale avec un port de tête désaxé et une compression des racines nerveuses qui vont innerver le coude.

Pour détecter l’origine des douleurs du coude, il est souhaitable d’effectuer un bilan postural OPS.

Douleurs aux poignets

Pathologie

Le syndrome du canal carpien se manifeste par la compression du nerf médian au poignet. Le nerf médian est un grand nerf qui parcourt le centre de l’avant-bras et dont les ramifications se prolongent jusqu’à la peau du pouce, de l’index, du majeur et de la moitié de l’annulaire. Dans le poignet, le nerf médian et les tendons fléchisseurs des doigts traversent un « tunnel » nommé canal carpien. Celui-ci est très étroit et peut être facilement réduit par une inflammation ou ses séquelles (fibrose).

Le syndrome du canal carpien est souvent amplifié par une crispation nocturne associant le bruxisme (serrage de dent) et le serrage du poing. Ce phénomène inconscient survenant la nuit peut occasionner une inflammation des muscles passant dans le canal carpien.

Afin de détecter l’origine du syndrome du canal carpien, il est souhaitable d’effectuer un bilan postural OPS.

Douleurs aux genoux

Les principales pathologies liées aux douleurs aux genoux sont les suivantes :

L’instabilité du genou peut provoquer un désalignement du membre inférieur et un glissement de la rotule. Elle favorise une rotation au niveau de la jambe et le désalignement de la cheville et de la hanche.

L’instabilité du genou est souvent causée par une hyperlaxité ligamentaire et une déficience musculaire. Elle peut à la longue provoquer des maux comme le syndrome fémoro-patellaire, l’arthrose et même la luxation rotulienne.

Le genou est une articulation charnière entre le pied et la hanche. Une mauvaise position d’un des deux segments peut occasionner une surcharge compensatrice au niveau du genou. Un pied plat (hyperpronateur) est instable et occasionne une difficulté compensatoire directement au genou.

L’analyse podologique et l’analyse fonctionnelle des hanches prévues dans le bilan OPS seront très intéressantes dans ce cas.

Le syndrome de stress fémoro-patellaire est également connu sous le nom de syndrome douloureux antérieur du genou, et souvent comparé dans le passé à la chondromalacie fémoro-patellaire. Il est fréquemment rencontré chez les jeunes athlètes. Cette pathologie est souvent mise en cause par un mauvais alignement de l’extrémité inférieure : augmentation de l’antéversion fémorale, tibia vara, torsion externe du tibia et pronation du pied.

Une mauvaise position du pied en hyperpronation peut favoriser une compression excessive du cartilage de la rotule.

Le bilan postural OPS est intéressant pour vérifier l’action du pied par rapport au genou.

La maladie d’Osgood-Schlatter est une ostéochondrite ou ostéochondrose. C’est une anomalie de la croissance de l’os et du cartilage chez l’enfant. Il s’agit d’un groupe de maladies de causes inconnues caractérisées par l’interruption de la vascularisation du noyau d’ossification primaire ou secondaire des os concernés.

L’ostéochondrite apparaît entre 5 et 14 ans selon sa localisation et concerne principalement les individus plus ou moins sportifs.

La maladie d’Osgood-Schlatter se caractérise par une douleur située au niveau la tubérosité tibiale antérieure (partie supérieure du tibia).

Cette ostéochondrose peut être aggravée par l’hyperpronation du pied.

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

La maladie de Sinding-Larsen-Johanson est une ostéochondrite ou ostéochondrose. C’est une anomalie de la croissance de l’os et du cartilage chez l’enfant. Il s’agit d’un groupe de maladies de causes inconnues caractérisées par l’interruption de la vascularisation du noyau d’ossification primaire ou secondaire des os concernés.

L’ostéochondrite apparaît entre 5 et 14 ans selon sa localisation et concerne principalement les individus plus ou moins sportifs.

La maladie de Sinding-Larsen-Johanson se caractérise par une douleur située au niveau la pointe de la rotule.

Cette ostéochondrose peut être aggravée par l’hyperpronation du pied.

L’analyse podologique en mouvement prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas. .

C’est une tendinite qui affecte l’insertion du tendon rotulien au niveau de l’extrémité distale de la rotule, et moins fréquemment au niveau de la tubérosité antérieure du tibia.
Cette tendinite peut être liée à l’hyperpronation du pied.

L’analyse podologique en mouvement prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

La tendinite de la patte d’oie est une inflammation des trois tendons des muscles constituant la « patte d’oie » situés à la partie supéro-interne du tibia.

Le mécanisme inflammatoire est en général causé par une hyperpronation du pied qui favorise une torsion du genou, ce qui met les tendons de la patte d’oie en tension.

L’analyse podologique en mouvement prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

Au cours de l’effort, la bandelette de Maissiat (aponévrose externe du genou) frotte anormalement contre le fémur tel un essuie-glace. À force, la zone s’enflamme et le patient se plaint de douleurs externes du genou. Dans la majorité des cas, le souci est lié à un trouble dynamique du pied. Il peut toutefois aussi provenir d’un problème de bassin.

L’analyse globale prévue dans le bilan OPS sera très intéressante pour détecter l’origine du syndrome : pieds, bassin…

La gonarthrose (ou arthrose du genou) est une usure de l’articulation du genou par frottement des surfaces articulaires : la radiographie montre la destruction du cartilage. Cette pathologie est fréquente à partir de 50 ans, peut être asymptomatique et passer inaperçue ou encore être très invalidante et provoquer bien des douleurs.

La mauvaise position du pied peut occasionner un manque d’amortissement qui peut favoriser une contrainte excessive des ménisques et du cartilage du genou. Cette malposition peut occasionner une mauvaise répartition des pressions articulaires du genou, favorisant une usure anormale des ménisques et ensuite du cartilage.

L’analyse podologique en mouvement prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas

Le genu valgum est une déformation du membre inférieur vers l’intérieur. En position debout, les deux jambes forment un X, les deux genoux se touchent alors que les chevilles sont écartées. Plus le genu valgum est accentué, plus il peut nuire à la marche. Aussi, avec l’âge, il est souvent un facteur prédisposant à la gonarthrose (arthrose du genou) car les pressions et les forces exercées sur le genou ne se font pas aux bons endroits.

Le genu valgum peut être causé par un déséquilibre de la tonicité musculaire du membre inférieur et une hyperlaxité des ligaments internes du genou. Les pieds hyperpronateurs (plats) et l’excès de poids accentuent la déformation des genoux en X. 

L’analyse dynamique des membres inférieurs prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

Le genu varum est une déformation du membre inférieur vers l’extérieur. En position debout, les deux jambes forment un O. C’est l’opposé du genu valgum (genoux en X). Les chevilles en contact, les genoux ne se touchent pas. Plus le genou est varum, plus l’écart est important. Les jambes sont dites arquées. Le genu varum est l’un des principaux facteurs qui favorisent l’arthrose du genou par le chargement du compartiment médial du genou.

Le genu varum peut être causé par un déséquilibre de la tonicité et de la souplesse musculaire du membre inférieur. Il peut être amplifié par une mauvaise position des pieds et des hanches.

L’analyse dynamique des membres inférieurs prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas. 

La marche en intoeing est une marche en fermeture des hanches. Elle apparaît dès le plus jeune âge. Les pieds rentrent vers l’intérieur à cause d’une rotation interne excessive de la hanche. Elle peut favoriser des chutes régulières.

Ce mécanisme est causé par un trouble de la tonicité musculaire des hanches et/ou des pieds.

L’analyse dynamique des membres inférieurs prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas. 

Douleurs aux jambes

Les principales pathologies liées aux douleurs aux jambes sont les suivantes :

La périostite tibiale se manifeste par un syndrome inflammatoire douloureux, situé le long des deux tiers moyens internes du tibia.

Le terme de syndrome de stress tibial interne est plus spécifique et se réfère aux blessures de surcharge produisant une réaction inflammatoire douloureuse le long du bord postéro-interne du tibia.

La périostite tibiale est liée à l’hyperpronation du pied. Le muscle en lutte excessive pour redresser le pied en dynamique enflamme son attache osseuse.

L’analyse podologique en mouvement prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

Le muscle tibial antérieur part du cou-de-pied pour rejoindre la partie antérieure de la jambe. Il participe à l’élévation de l’avant-pied afin de préparer le contact du pied au sol et à l’élévation de l’arche interne (par supination) en aidant le muscle tibial postérieur (principal supinateur du pied).

La pronation excessive du pied est la principale cause d’inflammation du tibial antérieur. Le port d’une chaussure à talon peut aussi être une cause qui le sollicite anormalement puisque son amplitude de travail est plus conséquente.

L’analyse du pied et des chaussures prévues dans le bilan OPS seront très intéressantes dans ce cas.

Douleurs aux chevilles

Les principales pathologies liées aux douleurs aux chevilles sont les suivantes :

L’instabilité de la cheville est causée par une hypermobilité articulaire. Elle représente tout le mouvement qui se produit dans une articulation en réponse aux forces qui interagissent sur l’articulation au moment où celle-ci devrait être stable sous de telles forces.

L’hyperpronation du pied produit une instabilité articulaire, appelée hypermobilité, lorsque le pied est en charge. La cheville subit des dislocations partielles (subluxations) et risque plus facilement des entorses.

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

L’entorse de la cheville (ou foulure) est une lésion par étirement ou déchirure d’un ou de plusieurs ligaments. Les ligaments sont des élastiques tendus d’un os à un autre qui permettent aux articulations de rester stables dans le cas de mouvements extrêmes. 90% des entorses de cheville correspondent à une atteinte du ligament collatéral externe entre le tibia, le talus (astragale) et le calcanéum (os du talon).

Suite à une première entorse, les statistiques démontrent qu’une récidive survient dans 50 % des cas. Il est donc important de prévenir ce phénomène en effectuant une rééducation proprioceptive et musculaire adéquate.

Un pied plat (hyperpronateur) est instable lorsqu’il est causé par une faiblesse musculaire. Sa mauvaise position peut donc perturber la stabilité du pied. Le pied creux (hypersupinateur) est, à l’inverse du pied plat, trop rigide.

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

Douleurs aux pieds

Les principales pathologies liées aux douleurs aux pieds sont les suivantes :

Le pied plat est caractérisé par un affaissement de la voûte plantaire avec diminution de la hauteur de l’arche interne du pied. Le phénomène s’accompagne habituellement d’un excès de pronation (hyperpronation).

Certains parents s’inquiètent des pieds plats de leur enfant. Il faut tout d’abord savoir qu’à la naissance, le pied est potelé. Cet excédent de graisse se réduira dans les 2 premières années de l’enfant, et à partir de cet âge, le pied se dessinera et développera ses cambrures. Il faut ensuite savoir que la voûte plantaire commence à se former via le travail des muscles du pied durant la marche. Un enfant finalise le développement musculaire et proprioceptif de ses pieds à l’âge de 8 ans. Le pied est donc plat dans ses premiers pas et sa déformation se réduit progressivement jusqu’à l’âge de 8 ans, à condition d’avoir un développement musculaire correct. Un bilan sera alors nécessaire pour visualiser le bon développement des pieds de l’enfant. 

Le pied plat congénital serait causé par une insuffisance musculaire et une distension ligamentaire du pied qui ne permettrait pas à la voûte plantaire de se positionner normalement.

Le pied plat acquis provient d’une déformation du pied dans laquelle la position des os les uns par rapport aux autres a été modifiée. Cette modification peut être causée par de nombreux facteurs perturbateurs de la fonction musculaire et ligamentaire (chaussures, traumatismes…).

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

Le pied creux (hypersupinateur) est caractérisé par l’accentuation exagérée de la voûte plantaire. Elle correspond à l’augmentation de hauteur des arches du pied et s’accompagne régulièrement « d’orteils en griffe ». Il est donc plus facilement sujet à des entorses externes de la cheville.

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

L’instabilité du pied est causée par une hypermobilité articulaire. Elle représente tout le mouvement qui se produit dans une articulation en réponse aux forces qui interagissent sur l’articulation au moment où celle-ci devrait être stable sous de telles forces.

L’hyperpronation du pied produit une instabilité articulaire, appelée hypermobilité lorsque le pied est en charge. Cette hypermobilité est à l’origine de certains problèmes tels que la métatarsalgie, subluxation de l’articulation métatarso-phalangienne et des neuromas.

Lorsque le pied est en pronation pendant la propulsion, le mécanisme de verrouillage osseux du tarse devient moins efficace. Le tarse devient instable, les muscles de la phase d’appui sont incapables de stabiliser efficacement les articulations distales. Aucun os distal ne peut être stabilisé si les os proximaux sont instables. Lors du décollement du talon, les forces supportées par l’avant-pied provoquent des mouvements anormaux des os de l’avant-pied les uns par rapport aux autres, ainsi qu’une diminution de la stabilité osseuse. L’articulation subit des dislocations partielles (subluxations).

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas. 

La métatarsalgie est un terme non spécifique qui définit une douleur au niveau des métatarsiens, plus communément au niveau de l’articulation métatarso-phalangienne.

La métatarsalgie chronique est plus souvent causée par des microtraumatismes produits par l’hyperpronation du pied lors de la propulsion. Le pied ne pouvant se verrouiller, ses articulations déviées et hypermobiles étirent les tissus ligamentaires et capsulaires, ce qui entraîne une inflammation. L’hyperpronation du pied peut également provoquer des cisaillements anormaux sur les têtes des métatarsiens, ce qui peut favoriser l’apparition de douleurs.

Une chute antérieure du tronc peut aussi occasionner une surcharge du poids sur l’avant du pied. Le port de la tête en antériorité peut être causé par un déséquilibre maxillo-facial (mâchoires), un trouble oculomoteur (yeux) ou un trouble vestibulaire (oreille interne).

Grâce à sa vision globale, le bilan OPS sera très intéressant dans ce cas.

Le neuroma intermétatarsien, aussi appelé « syndrome de Morton », provoque une douleur qui se développe dans la région de la bifurcation du paquet neurovasculaire passant entre les orteils.

La douleur siège, de manière élective, dans le troisième espace intermétatarsien, plus rarement dans le deuxième et, exceptionnellement, dans les premier et quatrième. Cette douleur est ressentie comme une « décharge électrique », obligeant souvent le patient à se déchausser, afin de calmer la symptomatologie. Elle peut être réveillée par une pression punctiforme de la face plantaire et s’accompagne fréquemment d’irradiations vers les orteils adjacents, qui sont le siège de paresthésies.

Les troubles morphostatiques du pied (hyperpronation) et le port de chaussures étroites avec talons hauts sont des facteurs prédisposants. De même, des activités sportives importantes peuvent, par les contraintes microtraumatiques qu’elles engendrent, faciliter la survenue de cette pathologie..

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

L’hallux valgus du pied est un désaxement du gros orteil vers l’extérieur du pied. Son mécanisme de déformation est principalement déclenché durant une pronation excessive prolongée. L’articulation médio-tarsienne déverrouillée induit l’hypermobilité du premier rayon pendant la propulsion. Le premier rayon instable est forcé en dorsiflexion et en inversion, ce qui provoque la subluxation de la première articulation métatarso-phalangienne. La déformation est progressive et influencée par l’importance de la pronation.

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

Il s’agit d’une déformation d’un orteil au niveau de l’articulation interphalangienne proximale et/ou distale. Elle peut être isolée ou associée à un hallux valgus.

Le pied mal positionné (hyperpronaté ou hypersupinaté) peut entraîner une instabilité et favoriser un agrippement des orteils. Cet agrippement prolongé peut se rigidifier avec le temps en position de griffe.

Une chute antérieure du tronc peut aussi occasionner une surcharge du poids sur l’avant du pied et entraîner un agrippement des orteils pour améliorer la stabilité du corps. Le port de la tête en antériorité, responsable de l’antériorité du tronc, peut être causé par un déséquilibre maxillo-facial (mâchoires), un trouble oculomoteur (yeux) ou un trouble vestibulaire (oreille interne).

Grâce à sa vision globale, le bilan OPS sera très intéressant dans ce cas.

Le tendon d’Achille est le tendon du corps qui subit les plus importantes contraintes, allant jusqu’à plusieurs centaines de kilos de traction pour un calibre minimal d’environ 1 cm². On parlera plutôt de tendinopathie que de tendinite, étant donné la diversité anatomopathologique.

Les tendinopathies achilléennes sont souvent liées à une hyperpronation du pied.

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

La maladie de Sever est une ostéochondrite ou ostéochondrose. C’est une anomalie de la croissance de l’os et du cartilage chez l’enfant.Il s’agit d’un groupe de maladies de causes inconnues caractérisées par l’interruption de la vascularisation du noyau d’ossification primaire ou secondaire des os concernés.

L’ostéochondrite apparaît entre 5 et 14 ans selon sa localisation et concerne principalement les individus plus ou moins sportifs.

La maladie de Sever se caractérise par une douleur située au niveau du calcanéum (arrière du talon).

La maladie de Sever est souvent aggravée par une hyperpronation du pied. Il faut savoir que la pronation excessive est accompagnée d’une rotation interne du tibia qui tend à tirer, d’un rapide coup de fouet, le tendon d’Achille vers l’intérieur.

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

La tendinopathie du jambier postérieur est assez fréquente et est nettement favorisée par une hyperpronation du pied. Il peut s’agir d’une tendinopathie d’insertion sur le scaphoïde tarsien ou d’une ténosynovite derrière la malléole interne. La luxation de ce tendon est rare, par contre, la tendinopathie dégénérative avec allongement progressif puis rupture partielle et complète du tendon est plus fréquente.

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L’aponévrose ou fascia plantaire est une structure fibro-musculaire qui fait partie du système suro-achilléo-plantaire. Dans le cas de cette pathologie, elle est mal vascularisée et plus élastique. Elle est sollicitée par les mouvements d’impulsion et en présence de pieds qui s’affaissent.

C’est le plus souvent au niveau postéro-interne, à son insertion sur le calcanéum, que l’aponévrose plantaire présente une inflammation douloureuse. Cette douleur peut irradier vers le gros orteil. Elle est présente, de façon classique, lors de la pose du pied au sol pour la première fois le matin, après le repos nocturne. Il existe une douleur palpatoire élective, relancée à la dorsiflexion du gros orteil. Les radiographies seront le plus souvent normales chez les jeunes patients sportifs, mais montreront une « épine calcanéenne » chez les patients plus âgés. Cette épine traduit une traction du fascia sur le calcanéum, mais n’est pas douloureuse en elle-même.

L’aponévrose plantaire semble aussi liée à l’hyperpronation. En effet, l’éversion prolongée du calcanéum pendant la phase d’appui intermédiaire entraîne un étirement de l’aponévrose plantaire. Si le pied ne repart pas en supination, la tension de l’aponévrose plantaire augmente lors du décollement du talon, quand le poids du corps est concentré sur l’avant-pied et que le triceps, par sa contraction, exerce une traction sur le calcanéum. La pronation excessive, couplée à ces facteurs pendant la course, provoque une énorme augmentation de tension qui résulte en des microtraumatismes de l’aponévrose plantaire, suite à la surcharge répétitive et à l’accumulation de stress.

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L’épine de Lenoir est ce que l’on nomme plus communément l’épine calcanéenne. C’est une excroissance osseuse anormale (qui pointe vers l’avant-pied), visible à la radiographie, nommée en l’honneur de monsieur Lenoir, qui en a fait la découverte. Elle se forme à l’endroit où le fascia plantaire rejoint l’os du talon (le calcanéum). Il ne s’agit pas d’une maladie en soi, mais d’une conséquence d’une fasciite plantaire chronique (nommé aussi aponévrosite plantaire).

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Les tissus osseux sont capables de remodeler leur structure en réponse au stress. Le processus normal de remodelage requiert un équilibre entre la résorption osseuse et le remplacement osseux. Les microfractures apparaissent donc lorsque le processus de résorption est plus rapide que celui de remplacement. Ce déséquilibre est provoqué par l’application continue de stress répétitifs. Le calcanéum et les métatarsiens sont les sites les plus fréquents de fracture de stress chez l’athlète.

L’étiologie des fractures de stress est multifactorielle :

- L’intensité d’entraînement,
- La diététique,
- L’hyperpronation du pied : celui-ci surcharge le muscle soléaire qui peut fatiguer la partie postéro-médiane du tibia et provoquer une fracture de stress. De plus, cette hyperpronation est susceptible d’entraîner la fracture de stress du calcanéum par le manque d’absorption du choc, occasionné par l’absence d’action « ressort » du pied. 

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.

L’algodystrophie ou algoneurodystrophie, également appelée syndrome douloureux régional complexe, se manifeste par des fourmillements, brûlures, douleurs intenses voire une raideur. Sa cause est souvent difficile à trouver, et dans 20 % des cas, elle restera mystérieuse. L’algodystrophie se manifeste au niveau des articulations et des zones péri-articulaires. Il est essentiel de combattre la raideur articulaire le plus tôt possible afin d’éviter une fixation complète de l’articulation atteinte. Une rééducation active est essentielle.

Le bilan postural OPS permettra d’analyser le niveau d’atteinte articulaire (raideur) et de visualiser la compensation corporelle en lien avec cette pathologie.

La neuropathie est l’une des complications les plus récurrentes des diabètes. Elle affecte dans un premier temps les pieds et ensuite les mains. Elle est décrite comme une perte de sensations, ou encore par des engourdissements ou des picotements au niveau des orteils. Les symptômes apparaissent habituellement de façon progressive par des douleurs diffuses et intermittentes au début et peuvent s’intensifier avec le temps. es symptômes vont et viennent, mais, par la suite, ils deviennent plus fréquents. Une personne peut rencontrer, sur une longue période de temps, une perte de sensation telle qu’elle ne pourra ni sentir l’étroitesse de ses chaussures, ni même savoir si l’eau du bain est chaude ou froide, ou encore savoir si elle s’est blessée.

Il apparaît également des symptômes de faiblesses musculaires et l’affaissement progressif des arches du pied. La neuropathie diabétique est la principale cause des ulcérations et des infections des pieds et, dans des cas extrêmes, celle de l’amputation.

Il est essentiel de vérifier que le pied ne subit pas un trouble de pression pouvant favoriser une ulcération.

L’analyse podologique prévue dans le bilan OPS sera très intéressante dans ce cas.